D'oú vient-t-il ?
Son histoire a démarré il y a cinq cent quarante ans dans une petite auberge de Suruga où les deux des meilleurs maîtres de l’Amma (la première forme de massage avant le shiatsu) se sont affrontés autour d’une démonstration de « Kyoku-te » (soin du visage réalisé avec une technique de percussions particulière, la main pliée).
À la fin de la compétition, qui a duré plusieurs mois, aucun vainqueur ne fût désigné.
Les deux maîtres ont donc préféré s'unir pour fonder une maison de beauté : la Maison Kobido.
C’est comme ça qu’ils ont établi 48 techniques de massage distinctes de l’Amma, qui se sont ensuite transmises au fil des générations.
La différence du Kobido avec les autres massages
Le Kobido est plus qu’un massage. C’est un art traditionnel, au même titre que l’origami ou la cérémonie du thé, qui repose sur une grande rigueur. Cependant, il a des ressemblances avec les massages dits « profonds », qui agissent jusqu’au niveau des muscles. Extrêmement complexe, il est basé sur plus d’un millier de techniques, qui sont divisées en 48 catégories. Dans chacune d’entre elles, plusieurs variantes sont proposées en fonction de la partie du visage sur laquelle elles sont appliquées. Elles sont réalisées avec une huile pour garder le contact étroit avec les tissus. Et de temps à autre, le thérapeute ajoute quelques gouttes d’eau pour améliorer le glissant.
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